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Hons Dussau-Nebout
Dussau-Nebout, [Madame]
Boudet, Louis

Le fonds de Madame Dussau-Nebout

Présentation du producteur


L'Abbé Louis Boudet fut curé de Vielleségure puis d'Arzacq dans les années 1950 et 1960. Il était vidéaste amateur.

Présentation du contenu


Ce fonds est à mettre en relation avec le fonds Boudet (5 Num 9), conservé également aux Archives Départementales des Pyrénées-Atlantiques. Il s'agit d'un même fonds d'archives ayant été fractionné, ainsi certains enregistrements des deux fonds sont à mettre directement en relation (fichiers sonores correspondant aux enregistrements vidéo muets).

Historique de la conservation


Madame Dussau-Nebout est une professeur à la retraite, très investie dans la sauvegarde et la valorisation du patrimoine matériel et immatériel.
Elle posédait les enregistrements (vidéo et audio) que l'Abbé Boudet, ancien curé de Vielleségure puis d'Arzacq, a réalisés. Il lui a légué ce fonds dans les années 1990.
Le fonds a été fractionné par Madame Dussau-Nebout d'où son entrée en deux temps aux Archives départementales.
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Hons Jean-Loup Fricker
Fricker, Jean-Loup

Le fonds Jean-Loup Fricker

Présentation du producteur


Jean-Loup Fricker a conservé quelques enregistrements des années 1973 à 1980, époque à laquelle, jeune étudiant à Toulouse à l'Ecole d'Agriculture de Purpan, il s'est rapproché du Conservatoire Occitan où il est devenu formateur en chant et l'un des pionniers en Béarn de la relance de la flûte à trois trous. Dans cette dynamique, il a également mené des enquêtes en Béarn.

Présentation du contenu


Le fonds de Jean-Loup Fricker contient une douzaine de cassettes analogiques 60 minutes : collectes ou documents de travail et d'apprentissage de la flûte/tambourin à cordes de Gascogne.
A noter une enquête auprès d'Etxahun en compagnie d'un tambourinaire Béarnais, sur la comparaison des styles de jeu souletin et ossalois ; les Fêtes de Laruns le 15 août 1973 ; des chants polyphoniques enregistrés in vivo lors de fêtes d' Arros-Nay ; un enregistrement de flûte/tambourin et violon de la Vallée d'Ossau, remis par Jean Passimourt.
La moitié des enregistrements sont des documents de travail joués par Guy Bertrand, Xavier Vidal, Jean-Loup Fricker, pionniers du renouveau des musiques traditionnelles occitanes.
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Hons Louis Boudet
Boudet, Louis

Le fonds de l'abbé Louis Boudet

Présentation du producteur


L'Abbé Louis Boudet fut curé de Vielleségure puis d'Arzacq dans les années 1950 et 1960. Vidéaste amateur, les présents enregistrements, de la fin des années 1950 aux années 1960, sont les bandes sonores de ses montages vidéo.

Présentation du contenu


Ce fonds comprend des bandes magnétiques audio correspondant aux bandes sons de ses films. Quelques bandes magnétiques correspondent effectivement aux films déjà transférés sur des cassettes VHS.
Les enregistrements originaux (16) correspondent au mariage du neveu de l'Abbé Boudet. Sur cette bande, l'Abbé a enregistré la messe du mariage avec ses différents sermons tels que l'importance du rôle du mari, de l'épouse, le respect mutuel... Quelques cantiques et prières interviennent entre les sermons.

Cet inventaire fait également état de quelques enregistrements de fêtes ou manifestations publiques comme celles de la « Coupe de la Joie » ou encore des enregistrements en direct de chants et de musiques béarnaises. Ce fonds possède également des musiques basques ainsi que des sauts basques, enregistrés à l'occasion d'une pastorale jouée à Barcus.

Ce fonds est à mettre en relation avec le fonds Dussau-Nebout (5 Num 14), conservé également aux Archives Départementales des Pyrénées-Atlantiques. Il s'agit d'un même fonds d'archives ayant été fractionné, ainsi certains enregistrements des deux fonds sont à mettre directement en relation (fichiers sonores correspondant aux enregistrements vidéo muets).

Historique de la conservation


Dans les années 1990, l'Abbé Boudet avait confié à des fins de conservation ses vidéos et bandes sonores à Mme Dussau-Nebout, enseignante retraitée, très investie dans la sauvegarde et la valorisation du patrimoine local.
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Hons Guillaume Mayer
Mayer, Guillaume (1931-2007)

Le fonds Guillaume Mayer

Présentation du producteur


Guillaume Mayer est né en 1931 à Courrières, dans le Pas-de-Calais. Il a été élevé en Béarn où il est arrivé enfant, avec sa mère, pendant la débâcle de 1940. Ouvrier scieur en mécanique à Oloron-Sainte-Marie, plusieurs fois élu conseiller prudhommal, cet amoureux du chant achète en 1968, malgré son prix très élevé au regard de ses revenus d’ouvrier, un enregistreur UHER avec lequel il enregistre jusque dans les années 1985 soirées et concerts liés au chant et à la musique traditionnelle béarnaise, particulièrement dans la région du piémont oloronais et au Festival de Siros. A partir de cette époque, il s’installe à Rivesaltes.
Rencontré par Jean-Jacques Castéret dans cette ville en 2002, époque à laquelle il était retraité, son épouse et lui-même étaient particulièrement actifs dans les cercles de culture catalane, notamment les castells catalans (tours humaines), une pratique très répandue dans cette région.
Il semble avoir réalisé ces enregistrements pour le plaisir.
Il est décédé en 2007 à Perpignan.

Présentation du contenu


Le fonds est un véritable « patchwork » musical, une même bande magnétique voire une même piste pouvant faire coexister des contenus différents.

Il comporte notamment (parmi ce qui a été identifié) :
- Des enregistrements de concerts donnés à Oloron-Sainte-Marie, Salle Palas ;
- Concert de la « Hèsta de las etnias » « Fête des régions » du 15 avril 1983, Salle Palas. Canta u Populu Corsu, Etchamendy eta Larralde, Eric Fraj suivi d’un bal gascon ;
- Concert commun de Los de Nadau et I Muvrini Salle Palas à Oloron en 1979.

En raison des conditions du dépôt puis de la disparition de Guillaume Mayer avant la numérisation du fonds et sans dès lors de possibilités d’écoute commentée par l’auteur, il est difficile de connaître la localisation et le contexte d’une partie des enregistrements. Les mentions partielles figurant sur les bandes ne nous aident pas vraiment en raison de recopiage.

Seul un témoignage au moment du dépôt évoque, pêle mêle, des moments qui avaient retenu son attention. L'enregistrement est conservé par le CIRDOC-Institut occitan de cultura.

Historique de la conservation


En 2002, Guillaume Mayer a cherché à faire numériser ses enregistrements pour pouvoir les réécouter. France Bleu Roussillon contacté pour ce faire l’a adressé à son homologue béarnais lesquels l’ont adressé à l’Institut Occitan de Cultura. Il a alors fait don de son fonds pour une numérisation et une valorisation.
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Hons Robert Lo Diable
Daban, Robert (1924-2004)

Le Fonds Robert Le Diable

Présentation du producteur


Retraité de la SNCF en 1982, Robert Daban (dit Robert le Diable) a collecté un ensemble conséquent de chants, contes et musiques polyphoniques en Béarn entre 1981 et 1997. Son surnom lui aurait été attribué par l'une de ses cousines en référence à l’opéra Robert le Diable composé en 1831 par Giacomo Meyerbeer, lui-même inspiré de la légende de Robert le Diable[1].
Il est né à Jurançon le 3 novembre 1924, de père “cultivateur (patron)” et de mère “ménagère” (selon l’état civil). Après ses études, il a d'abord été instituteur avant de démissionner pour entrer à la SNCF, où il a fait toute sa carrière (il s'occupait des premiers appareils de contrôle, notamment sur la ligne Pau-Canfranc).
Robert Daban a enregistré un très grand nombre d'événements locaux et surtout de soirées béarnaises, enregistrements qui lui servaient notamment à produire des émissions de radio : il fut un animateur de la Voix du Béarn (créée en 1981) et de Ràdio País (créée en 1983) dès 1981 et au moins jusqu’en 1997.

Selon les dires de Robert le Diable, son prénom ainsi que son surnom lui auraient été donnés par l’une de ses cousines. Son surnom serait resté dans le cadre familial jusqu’à ce qu’il le réutilise lors de ses appels en tant qu’auditeur à la Voix du Béarn en 1981. Robert le Diable a en effet d’abord connu cette radio en tant qu’auditeur, dès la fin de l’été 1981 (la radio ayant été créée en juillet de cette même année) ; La Voix du Béarn émettait alors depuis Saint-Faust.

Son premier passage radiophonique s’est fait le 4 novembre 1981, en tant qu’invité à l’émission matinale Le Passe-Muraille (émission de Marie de Laroin, pour la Voix du Béarn). Cette émission du 4 novembre avait alors été préparée intégralement par les soins de Robert le Diable.
En 1982 , il commence à réaliser des enregistrements d'événements en direct, principalement en Béarn mais également dans les alentours (Soule, Bigorre notamment).

Même s’il n’était pas un chanteur, c’était une personnalité (re)connue présente dans toutes les manifestations locales et il y était bien accueilli. Autodidacte dans la captation sonore, il posait ses micros à côté des chanteurs en essayant de ne pas gêner la performance musicale et en s’adaptant à chaque situation, notamment pour l’enregistrement de concerts ou de chorales, afin d’installer son matériel technique dans des lieux qui n’étaient pas toujours lumineux. Il n’a jamais enregistré sur bandes magnétiques mais préférait les cassettes analogiques par facilité d’utilisation et de nettoyage.
Après avoir commencé ses premiers enregistrements avec du matériel très bas de gamme, il a pu se procurer un meilleur matériel ; il s'est par exemple mis à utiliser des cassettes Métal à balayage Dolby sur les conseils de Richard Le Coz, avec qui il travaillait à Ràdio País.

Vers 1984, il réalisait du montage, notamment pour ses émissions de radio ; il enlevait alors ce qui ne lui servirait pas, notamment les présentations orales (se contentant de noter ce qu’il y avait sur les cassettes), les applaudissements ou même certains conteurs dont il n'allait pas réutiliser les textes. Il s'est par la suite rendu compte de leur valeur documentaire et les a conservées à partir de 1986.

Ses émissions radiophoniques prenaient généralement la forme de diffusion d'extraits musicaux, accompagnés d'éléments de direct : commentaires ou lectures de Robert Le Diable, interviews de personnalités, appels d'auditeurs pour "dédicacer" les extraits musicaux diffusés.
Il réalisait pratiquement toutes ses émissions de radio en direct, très peu en préenregistré (hormis les extraits sonores qu'il faisait écouter). Selon lui, lors de ses débuts en direct à la radio, la difficulté ne résidait pas dans le fait d’assurer l’émission en béarnais puisqu’il le parlait déjà, mais plutôt dans le fait de traduire en direct des textes du français au béarnais (notamment lorsqu'il lisait des poèmes ou des paroles de chansons par exemple).

Dès 1986, Robert Le Diable explique que le but de son travail de collecte est de faire vivre son pays et sa culture (notamment par le biais des radios libres). Selon lui, le pays qui vit est celui qui conte et qui chante. Il explique que son travail de collecte doit "servir à quelque chose", dans le sens d'une utilisation vivante, et que le reste (le "moins bon") peut également servir pour la recherche et pour la conservation.
Richard Le Coz le considère comme un "documentariste" : les enregistrements de Robert Le Diable prenaient la forme du collectage documentaire de l'événement, plutôt que du reportage. Il explique également que Robert Le Diable avait grand plaisir à se rendre aux événements dont il réalisait les captations.

Robert Daban, bien que n'étant pas lui-même chanteur, semblait s'intéresser à la pratique du chant. Il connaissait de nombreux chanteurs gascons, et s'intéressait aux nuances d'interprétation selon les régions, aux évolutions de la pratique. Il s'exprime à ce sujet dans un entretien réalisé chez lui le 6 janvier 1995 par Jean-Jacques Castéret et Jean-Louis Mandère, entretien à l'occasion duquel il dit également espérer que des gens seront intéressés par ses cassettes.

Selon Jean-Louis Mandère, il enregistrait encore des événements en 2000, mais avait déjà arrêté la radio.

Robert Daban est décédé le 2 septembre 2004 en laissant une vaste collection de plus de 1500 cassettes analogiques issues de ses nombreux enregistrements lors de fêtes de village, de contes et de soirées béarnaises, et d'enregistrements d'émissions radiophoniques (les siennes principalement).

Références :
Entretien de Robert Daban avec Jean-Jacques Castéret et Jean-Louis Mandère, 1995
Emission de Robert Daban sur Adishatz Monde avec Yvan Bareyre et Georges Bourdalés, 1986
Entretien de Jean-Louis "Loulou" Mandère (fondateur et ex-président du Festival de Siros) avec Mathilde Lamothe et Marie-Alix Nicaise, 2017
Entretien de Richard Le Coz (cofondateur de Ràdio País) avec Fanny Lartigot et Marie-Alix Nicaise 26 juin 2019
Interview Robert Daban [voir document ROB 621_B dans ce fonds]

[1]Info wikipedia :
- Opéra en cinq actes de Giacomo Meyerbeer, livret d'Eugène Scribe et Germain Delavigne, créé le 21 novembre 1831 à l'Opéra de Paris.
- Il y a à la Bibliothèque impériale deux manuscrits d’un roman en vers du treizième siècle qui a été imprimé en 1837 sous ce titre : Le Roman de Robert le Diable, en vers du treizième siècle, pour la première fois, d’après les manuscrits de la Bibliothèque du roi, par G.S. Trébutien. Paris, Silvestre, in-4° (en caractères gothiques). Rien n’empêche de penser qu’il y a eu une légende antérieure à ce roman en vers du treizième siècle.

Présentation du contenu


Ce fonds a été organsié en 8 sous-fonds (ou corpus) :
- soirées béarnaises (contes, chants) /chants et fêtes,
- corpus de radio (émissions qu’il a produites et enregistrements d'autres émissions),
- contes,
- poésie,
- enregistrements d'un abbé félibre (M. Grangé),
- soirées de théâtre,
- messes,
- événements et rencontres.

Si le corpus musical est très riche, nous ne possédons cependant pas l’ensemble du fonds tel que la correspondance, la presse ou les revues, archives papier qui permettraient de cerner ses centres d’intérêt, connaître son réseau d’informations et comprendre son omniprésence dans les fêtes locales.

Robert le Diable était attaché à la documentation de ses enregistrements puisqu’il décrivait précisément les contenus de ses cassettes avec tous les éléments d’une description archivistique : lieu, date, informations sur l’enregistrement, etc. Plusieurs indices nous laissent penser que ces cassettes semblent être destinées à être réutilisées par d’autres personnes comme l’emploi du vouvoiement (« retournez la cassette »), l’indication des coordonnées d’une tierce personne, ou la précision des informations contextuelles. Il commence généralement ses cassettes par un décompte en français « 5, 4, 3, 2, 1, 0 » pour lancer la cassette avant d’entendre le début de l'enregistrement en lui-même.

Par ailleurs, la plupart de ces cassettes semblait destinée à un usage radiophonique. Un certain nombre d’enregistrements réalisés en public sont précédés d’une introduction par Robert Le Diable, ajoutée au montage, présentant le contenu en occitan, dans un niveau de langue plutôt littéraire. Il s'agit du format de prédilection de Robert Le Diable pour ses émissions radiophoniques.
D’autre part, si certaines cassettes sont les originales et présentent le matériau d’enregistrement « tel quel », d’autres correspondent à des assemblages de ces mêmes documents réalisés par Robert Le Diable. Ces dernières correspondent à un montage qui devait sans doute être préparé en vue d’une émission (compilations thématiques, extraits spécifiques de certaines soirées…).

Certains boîtiers de cassettes contenaient des documents complémentaires : inscriptions sur la jaquette, feuillets manuscrits, listes dactylographiées du contenu, coupures de presse... (se référer au champ "Commentaires" de chaque fiche pour en avoir le détail).
Ces documents ont été pour la plupart numérisés et joints à la fiche correspondante. Lorsque la description de la jaquette restait succincte (par exemple : indication du titre et de la date seulement), le document n'a pas été numérisé mais les informations contenues ont été directement intégrées dans les champs correspondants.

Historique de la conservation


En 2009, une opération de récolement de fonds sonores privés a été entreprise par l’Ethnopôle Inoc Aquitaine en partenariat avec les Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques pour sauver ce fonds d’archives qui menaçait de disparaître après le décès de Robert le Diable.
L'inventaire sommaire en avait déjà été fait du vivant de Robert Daban par Jean-Louis Mandère, Patricia Heiniger-Casteret et Jean-Jacques Casteret, en 2004. Selon les dires de Jean-Louis Mandère, Robert Le Diable était décédé très rapidement après lui avoir donné les cassettes, c’est-à-dire en septembre 2004.
Le détenteur du fonds, Louis Mandère, leur a accordé un droit de cession de reproduction et de représentation afin de pouvoir numériser et de conserver ces archives ethnomusicologiques, dans le cadre du programme de sauvegarde et de valorisation des archives sonores et audiovisuelles « en péril » des Archives départementales.
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De la plus charmante anesquette (De la plus charmanta anesqueta)
Despourrin, Cyprien (1698-1759). Compositeur
Son édité
Domaines : Musique vocale / Musique instrumentale
Provenance : Pyrénées Atlantiques - Béarn
Effectif : Chœur
Technique vocale : Polyphonie
Forme texte : Strophique
Situation de l’enregistrement : En studio
Matériel d’accompagnement : Archives Diapositives
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Peyroutou (Peiroton)
Son édité
Domaine : Musique instrumentale
Provenance : Pyrénées Atlantiques, Hautes Pyrénées - Gascogne
Descripteur(s) : Danse bal
Effectif : Duo instrumental
Instrument(s) : Flûte à trois trous (Flabuta) ; Violon (Vriolon)
Situation de l’enregistrement : En studio
Matériel d’accompagnement : Archives Photos
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Lous Hardidets de Mazerolles
Son édité
Domaines : Musique vocale / Musique instrumentale
Provenance : Pyrénées Atlantiques - Béarn
Effectif : Chœur
Technique vocale : Polyphonie
Forme texte : Strophique
Instrument(s) : Guitare (Guitarra)
Situation de l’enregistrement : En studio
Matériel d’accompagnement : Archives Photos
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Instrumentau
Moureu, Jean (1924-1995). Collecteur
Son inédit
Domaine : Musique instrumentale
Provenance : Aude, Hérault, Tarn - Montagne Noire
Instrument(s) : Accordéon diatonique (acordeon diatonic) ; Violon (Vriolon)
Situation de l’enregistrement : En collecte
Qualité du document : bon
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\Bèth Cèu de Pau\". Chants et danses du Béarn. Par les chanteurs du Faget d'Oloron, accompagnement aux instruments traditionnels par la famille Moureu et Marcel Gastellu"
Son édité
Domaines : Musique vocale / Musique instrumentale
Provenance : Pyrénées Atlantiques, Oloron Sainte Marie - Béarn, Faget
Effectif : Chœur
Technique vocale : Polyphonie
Forme texte : Refrain
Situation de l’enregistrement : En studio
Matériel d’accompagnement : Archives Photos
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